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Michel63 * 04/09/2023 15:18	re : Numéro de série
« Tout à fait, Thierry » ! c’est ce à quoi nous sommes arrivés à force de lire les "John Thomason et Cie" et les contributions diverses sur le forum lorsque nous avons rédigé DiagnoSpit. En 1963, toutes les Spit étaient assemblées à Coventry, usine mère, et l’approvisionnement des chaînes n’était pas autant numérisé qu’aujourd’hui surtout pour des voitures de grandes séries, seuls les numéros de série (Commisson Number) gravés sur les plaques d’identification sont séquentiels. N’oublions pas non plus que, par la suite, les usines CKD ayant permis l’assemblage loin de Coventy, il fallait aussi tenir compte des numéros de ces voitures exportées. Je présume qu’un cargo chargé des caisses de 100 voitures devait être accompagné de 100 plaques de séries dont les numéros devaient être globalement intégrés par anticipation dans la production totale. Il faut aussi tenir compte des sauts de numérotation comme, par exemple la dernière Mk1 fut FC44573 en décembre 64 alors que la première Mk2 est FC50001 en décembre 64, aussi. D’où, sans doute, la réponse de Triumph à l’ancien propriétaire pas trop facile à interpréter ;o) Pour les photos, il faut les réduire pour que leur "poids" ne dépassent pas les 300ko Et, pour mémoire, voici celle qui est considérée comme la première "Spit française" ...ou belge (affirmation non vérifiée ! )

Michel63 *

04/09/2023
15:18

re : Numéro de série

« Tout à fait, Thierry » ! c’est ce à quoi nous sommes arrivés à force de lire les "John Thomason et Cie" et les contributions diverses sur le forum lorsque nous avons rédigé DiagnoSpit.
En 1963, toutes les Spit étaient assemblées à Coventry, usine mère, et l’approvisionnement des chaînes n’était pas autant numérisé qu’aujourd’hui surtout pour des voitures de grandes séries, seuls les numéros de série (Commisson Number) gravés sur les plaques d’identification sont séquentiels.
N’oublions pas non plus que, par la suite, les usines CKD ayant permis l’assemblage loin de Coventy, il fallait aussi tenir compte des numéros de ces voitures exportées. Je présume qu’un cargo chargé des caisses de 100 voitures devait être accompagné de 100 plaques de séries dont les numéros devaient être globalement intégrés par anticipation dans la production totale.
Il faut aussi tenir compte des sauts de numérotation comme, par exemple la dernière Mk1 fut FC44573 en décembre 64 alors que la première Mk2 est FC50001 en décembre 64, aussi.
D’où, sans doute, la réponse de Triumph à l’ancien propriétaire pas trop facile à interpréter ;o)

Pour les photos, il faut les réduire pour que leur "poids" ne dépassent pas les 300ko
Et, pour mémoire, voici celle qui est considérée comme la première "Spit française" ...ou belge

(affirmation non vérifiée !

)